mercredi 13 janvier 2010

Correspondance

ô gente demoiselle,

Quelle drame vient suriner mon cœur
Cette missive s'accompagne de pleurs
Vous revoir m'aurait été des plus agréables
La pensée de votre absence m'est intolérable

Des nouvelles de mon exhibition
Chaleureuse était la réception
Le Nord est à venir, j'y expose en octobre
J'espère ne pas attirer l'opprobre

Votre idylle avec l'île se meut en deal
Avec des produits nocifs et volatils
Je ne saurais vous mettre en garde
Sachez chère amie que Dieu vous regarde

A London, Couronnes ou Babylone
Qu'importe si le temps floconne
Ici ou là, rassemblées par bonheur ou tracas
Nos silhouettes vogueront du même pas

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